PALLADE-ART CONTEMPORAIN : RICHE, LA PROGRAMMATION DU 2eme SEMESTRE !
Anne-Marie et Roland Pallade n'ont pas les quatre pieds dans le même sabot. Avec eux, ça bouge côté arts contemporains, à Lyon. Ainsi viennent-ils déjà de publier le programme de leurs expositions du second semestre. Bravo à ces deux véritables connaisseurs et amis des arts et des artistes que j'avais eu l'occasion et le plaisir de rencontrer grâce à l'un de nos plus grands peintres encore bien vivant : Milshtein !
Voici donc leur programmation, qui ne manque pas d'intérêt comme vous allez pouvoir le constater :
Du 3 au 6 septembre (Vernissage le 3 septembre de 15h à 20h30) Philippe ARTIAS « l’insurgé ». Présentation du livre des éditions AREA autour de quelques tableaux . Ouvert de 15h à 19h
Du 12 septembre au 7 novembre (Vernissage le 12 septembre de 15H à 20h30) .Ouverture exceptionnelle les 13, 14 et 15 pendant les journées professionnelles de la Biennale de Lyon. Jo BROUILLON - « Un trait peut en cacher un autre » L’imagerie de Jo Brouillon est fondée sur la musique, le cinéma, le hip hop, l’histoire, la science, la culture, le graphisme … La toile devient un lieu d’apprentissage, d’interrogation, de passage, de métissage, comme autant de passerelles d’un monde, d’une culture à une autre. La rigueur technique de son travail traduit un amour profond de la couleur, du dessin, du papier, de l’encre … Ses œuvres recèlent une complexité d’associations et d’oppositions dont la profondeur trouble la lecture instantanée des éléments qui accrochent le regard en premier lieu. D’un trait noir, qu’il double ou triple, l’artiste se sert de son aisance et de sa maîtrise pour « brouillonner » à sa guise, et déstabiliser le spectateur. Jo Brouillon mêle engagement, violence, dérision et humour et met son public à l’épreuve des contrastes et des aberrations qui font la vie. Du dessin sur papier, de la peinture sur toile à l’installation murale, Jo est avant tout peintre mais aussi illustrateur, graffeur et poète.Il s’interroge sur le rôle de la mémoire et sur le rapport à l’histoire et aux histoires qui la font.
Du 12 novembre au 2 janvier 2010. (Vernissage le 12 novembre de 18h à 20h30) Vincent GUZMAN – « ChromoSpace » L’univers de Vincent Guzman se situe du côté de « l’Action Painting ». Comme Jackson Pollock, le support n’est pas disposé sur un chevalet mais posé à plat, par terre ou sur des tréteaux. Vincent Guzman opère alors autour du tableau une sorte de danse indienne, peut-être due à l’atavisme de ses racines péruviennes. Cette mise en scène, entre contrôle et liberté, gestes conscients et inconscients, permet de créer une composition fondée sur une harmonie dont la couleur agit sur le regard. De son nouveaux travail, Jean-Jacques Guionnet dit : « C’est une expérience sensorielle, forte et originale … Les pigments photos changeants et holographiques qu’il utilise, font varier la surface colorée selon les divers angles de vision créés par nos déplacements. Cela nous incite à regarder la peinture différemment, de manière interactive, puisqu’on peut produire, fixer et effacer les effets à notre guise. Notre regard se retrouve donc captif, tandis que nous contribuons à animer irisations, textures soyeuses et effets nacrés ». La couleur devient sujet et le tableau abstraction, même si quelques éléments figuratifs apparaissent, créant des espaces mouvants, sortes de tissus cellulaires imprégnés d’une vie intense dont les surfaces brillantes donnent des vibrations différentes, qui font des œuvres de Vincent Guzman, un espace de renouvellement constant.
anne-marie et roland pallade - art contemporain 35, rue Burdeau 69001 Lyon du mercredi au samedi de 15:00 à 19:00 et sur rdv +33 9 50 45 85 75
Lu dans
http://blog.cimaise-magazine.net
Voici donc leur programmation, qui ne manque pas d'intérêt comme vous allez pouvoir le constater :
Du 3 au 6 septembre (Vernissage le 3 septembre de 15h à 20h30) Philippe ARTIAS « l’insurgé ». Présentation du livre des éditions AREA autour de quelques tableaux . Ouvert de 15h à 19h
Du 12 septembre au 7 novembre (Vernissage le 12 septembre de 15H à 20h30) .Ouverture exceptionnelle les 13, 14 et 15 pendant les journées professionnelles de la Biennale de Lyon. Jo BROUILLON - « Un trait peut en cacher un autre » L’imagerie de Jo Brouillon est fondée sur la musique, le cinéma, le hip hop, l’histoire, la science, la culture, le graphisme … La toile devient un lieu d’apprentissage, d’interrogation, de passage, de métissage, comme autant de passerelles d’un monde, d’une culture à une autre. La rigueur technique de son travail traduit un amour profond de la couleur, du dessin, du papier, de l’encre … Ses œuvres recèlent une complexité d’associations et d’oppositions dont la profondeur trouble la lecture instantanée des éléments qui accrochent le regard en premier lieu. D’un trait noir, qu’il double ou triple, l’artiste se sert de son aisance et de sa maîtrise pour « brouillonner » à sa guise, et déstabiliser le spectateur. Jo Brouillon mêle engagement, violence, dérision et humour et met son public à l’épreuve des contrastes et des aberrations qui font la vie. Du dessin sur papier, de la peinture sur toile à l’installation murale, Jo est avant tout peintre mais aussi illustrateur, graffeur et poète.Il s’interroge sur le rôle de la mémoire et sur le rapport à l’histoire et aux histoires qui la font.
Du 12 novembre au 2 janvier 2010. (Vernissage le 12 novembre de 18h à 20h30) Vincent GUZMAN – « ChromoSpace » L’univers de Vincent Guzman se situe du côté de « l’Action Painting ». Comme Jackson Pollock, le support n’est pas disposé sur un chevalet mais posé à plat, par terre ou sur des tréteaux. Vincent Guzman opère alors autour du tableau une sorte de danse indienne, peut-être due à l’atavisme de ses racines péruviennes. Cette mise en scène, entre contrôle et liberté, gestes conscients et inconscients, permet de créer une composition fondée sur une harmonie dont la couleur agit sur le regard. De son nouveaux travail, Jean-Jacques Guionnet dit : « C’est une expérience sensorielle, forte et originale … Les pigments photos changeants et holographiques qu’il utilise, font varier la surface colorée selon les divers angles de vision créés par nos déplacements. Cela nous incite à regarder la peinture différemment, de manière interactive, puisqu’on peut produire, fixer et effacer les effets à notre guise. Notre regard se retrouve donc captif, tandis que nous contribuons à animer irisations, textures soyeuses et effets nacrés ». La couleur devient sujet et le tableau abstraction, même si quelques éléments figuratifs apparaissent, créant des espaces mouvants, sortes de tissus cellulaires imprégnés d’une vie intense dont les surfaces brillantes donnent des vibrations différentes, qui font des œuvres de Vincent Guzman, un espace de renouvellement constant.
anne-marie et roland pallade - art contemporain 35, rue Burdeau 69001 Lyon du mercredi au samedi de 15:00 à 19:00 et sur rdv +33 9 50 45 85 75
Lu dans
http://blog.cimaise-magazine.net